Umuko - Dorothé Munyaneza [danse]
Mardi 18 mars à 20h30
Maison de la danse
Danse, poésie, musique et chants portés par la jeunesse rwandaise.
Musicienne, chorégraphe, Dorothée Munyaneza, artiste associée à la Maison de la danse, aime faire résonner corps et voix. Pour sa nouvelle pièce, umuko, avec cinq jeunes artistes rwandais au plateau, la chorégraphe fait revivre « les éclats et les mémoires de cette jeunesse vulnérable et puissante, insoumise et flamboyante ». Celle qui rêve le Rwanda de demain, sans oublier le passé. En invoquant umuko, l’arbre aux fleurs vermeilles, l’arbre protecteur et guérisseur de son pays natal, elle construit une célébration fondée sur l’amour, la solidarité́ et la joie. umuko crie l’urgence à danser, le besoin de créer coûte que coûte, malgré les blessures.
Voir toutes les informations sur le site de la Maison de la danse
Une pièce pour les vivant·e·s en temps d'extinction [théâtre]
Du 18 au 20 mars
Théâtre du Point du Jour
Une pièce pour les vivant·e·s en temps d’extinction propose une soirée de partage où il est question de nous : les vivant·es. L’autrice américaine Miranda Rose Hall y raconte l’histoire de l’apparition du vivant sur Terre, de la 6ème extinction de masse en cours, et de notre envie impérieuse d’avoir un avenir.
Voir toutes les informations sur le site du théâtre du Point du Jour
7 minutes [opéra]
Vendredi 21 mars
Opéra de Lyon
Dans l’opéra 7 minutes, donné pour la première fois à l’Opéra de Lyon depuis sa création en 2019, le compositeur Giorgio Battistelli donne la parole à onze ouvrières qui doivent décider collégialement de leur avenir. Un huis clos intense entre désirs de révolte et rapports de force.
Sept : ce sont les minutes que les employées d’une usine de textile doivent accepter de supprimer de leur pause journalière d’un quart d’heure. Inspiré de la lutte menée par les salariés de la dernière usine française de la marque Lejaby à Yssingeaux en Haute-Loire, l’opéra de Giorgio Battistelli aborde avec sagacité la question de la précarité des travailleurs et travailleuses face aux menaces de réorganisation économique. Jusqu’à quel point juge-t-on digne d’aller pour travailler ? Jusqu’à quel point se compromettre ?
